Notre week end parisien fut l'occasion de (re)voir deux lecteurs:
Quasiment sur une boutade dans un commentaire, nous avons convenu avec Jérôme de nous rencontrer sans plus attendre. Que les lecteurs amicaux qui nous ont proposé de plus longue date de faire leur connaissance irl* nous pardonnent, nous ne les oublions pas, loin de là. Je pense tout particulièrement à Vincent à l'Ouest et à ... (ajoutez votre nom ici). Un échange soutenu à propos d'une grosse télé de p**e (que nous ne regardâmes pas!) et d'une chaleur trop picale (dont nous profitâmes agréablement) acheva de nous convaincre. Le délicieux garçon eut la délicatesse de venir nous cueillir à la gare. Certes, nous nous débrouillons dans les multiples réseaux ferrés souterrains de la capitale, mais cela fait toujours plaisir de voir un visage amical au bout de l'interminable quai de Montparnasse Vaugirard. Car nous ne prenons pas le TGV par Le Mans et préférons la ligne Paris-Granville, moins chère et menacée. Ce qui fait que nous appartenons à la lie ferroviaire et avons le droit de débarquer à environ deux kilomètres du métro. Grâce à un habile signe de reconnaissance (nous avions une valise et lui des moufles en fourrure), nous avons pu nous retrouver devant le Kwick (entre vous et nous c'est une histoire d'égout). Direction le malaimé XVIe - que nous aurons plaisir à découvrir sous un ciel plus clément qu'il ne le fut. Scoop: une conversation plaisante avec un charmant jeune homme autour d'un thé dans un appartement douillet ne nous déplait pas... Comme tout moment agréable, il est passé fort vite, mais la promesse de se revoir plus longuement chez nous (viendez les gens!) ou en Panamie nous consola quelque peu.
Le samedi, nous retrouvâmes Newick, dont nous avions déjà fait la connaissance ici, pour un verre dans une institution du Marais (un bar connu de tous dont nous n'avions bien évidemment jamais entendu parler). À 17h, il n'y a personne dans les institutions mais nous sommes des prescripteurs de tendance et le bar n'a pas tardé à se remplir. A 17h, on boit du thé, si ce n'est que la bière est moins chère (payer un doigt pour une eau chaude avec sachet, merci!) et a l'avantage de désinhiber. Notre compagnon, plus romantique, préféra déguster un "Sex on the beach", muni de deux pailles (il faudra vérifier s'il existe un "Partouze on the beach" avec beaucoup de pailles). Comme la première fois, la conversation - bien que polluée par les naseries d'NRJ 12 diffusée sur grosses télés de p**e - fut plaisante. Après un petit tour au BHV, plus peuplé que notre bonne préfecture ornaise, nous quittâmes à regret notre futur ténor du barreau - non sans lui avoir fait promettre de venir passer un week end dans la cité des Ducs (oui, nous sommes désespérés et on assume) et de devenir le futur juge d'instruction de PBLV.
Mont de pitous nous offre de belles rencontres, je n'aurai qu'une conclusion: Let's make blog!
Pitou V.
* in real life
Quasiment sur une boutade dans un commentaire, nous avons convenu avec Jérôme de nous rencontrer sans plus attendre. Que les lecteurs amicaux qui nous ont proposé de plus longue date de faire leur connaissance irl* nous pardonnent, nous ne les oublions pas, loin de là. Je pense tout particulièrement à Vincent à l'Ouest et à ... (ajoutez votre nom ici). Un échange soutenu à propos d'une grosse télé de p**e (que nous ne regardâmes pas!) et d'une chaleur trop picale (dont nous profitâmes agréablement) acheva de nous convaincre. Le délicieux garçon eut la délicatesse de venir nous cueillir à la gare. Certes, nous nous débrouillons dans les multiples réseaux ferrés souterrains de la capitale, mais cela fait toujours plaisir de voir un visage amical au bout de l'interminable quai de Montparnasse Vaugirard. Car nous ne prenons pas le TGV par Le Mans et préférons la ligne Paris-Granville, moins chère et menacée. Ce qui fait que nous appartenons à la lie ferroviaire et avons le droit de débarquer à environ deux kilomètres du métro. Grâce à un habile signe de reconnaissance (nous avions une valise et lui des moufles en fourrure), nous avons pu nous retrouver devant le Kwick (entre vous et nous c'est une histoire d'égout). Direction le malaimé XVIe - que nous aurons plaisir à découvrir sous un ciel plus clément qu'il ne le fut. Scoop: une conversation plaisante avec un charmant jeune homme autour d'un thé dans un appartement douillet ne nous déplait pas... Comme tout moment agréable, il est passé fort vite, mais la promesse de se revoir plus longuement chez nous (viendez les gens!) ou en Panamie nous consola quelque peu.
Le samedi, nous retrouvâmes Newick, dont nous avions déjà fait la connaissance ici, pour un verre dans une institution du Marais (un bar connu de tous dont nous n'avions bien évidemment jamais entendu parler). À 17h, il n'y a personne dans les institutions mais nous sommes des prescripteurs de tendance et le bar n'a pas tardé à se remplir. A 17h, on boit du thé, si ce n'est que la bière est moins chère (payer un doigt pour une eau chaude avec sachet, merci!) et a l'avantage de désinhiber. Notre compagnon, plus romantique, préféra déguster un "Sex on the beach", muni de deux pailles (il faudra vérifier s'il existe un "Partouze on the beach" avec beaucoup de pailles). Comme la première fois, la conversation - bien que polluée par les naseries d'NRJ 12 diffusée sur grosses télés de p**e - fut plaisante. Après un petit tour au BHV, plus peuplé que notre bonne préfecture ornaise, nous quittâmes à regret notre futur ténor du barreau - non sans lui avoir fait promettre de venir passer un week end dans la cité des Ducs (oui, nous sommes désespérés et on assume) et de devenir le futur juge d'instruction de PBLV.
Mont de pitous nous offre de belles rencontres, je n'aurai qu'une conclusion: Let's make blog!
Pitou V.
* in real life
5 commentaires:
A une semaine près on pouvait se rencontrer à Montparnasse. Nous c'est demain ! Attention à vos invitations inconsidérées, la Bretagne n'est pas si loin de l'Orne et je brûle de connaître votre élégant intérieur et de bavasser avec vous deux autour d'une table richement garnie de mets précieux et de vins choisis. Bon on peut toujours rêver, hein ?
Je ne sais pas si je vais vous pardonner votre passage à Montparnasse Vaugirard, c'est à dire à 5 minutes à pieds de mon chez moi...
L'appel des embruns sera un jour le plus fort. Prévoir d'acheter du thé.
On aurait presque plus souvent de nouvelles de Newick ici que sur son blog^^ (n'est-ce pas, l'intéressé?)!
Et sinon, le thé était bon, au moins?
Larkeo=> Pour discuter autour d'une table richement garnie, la gare Montparnasse, ce n'était effectivement pas le top!
Fyfe=> Au lieu de quoi nous nous sommes directement enfoncés dans les profondeurs du métro parisien...
VAO=> Nous avons des goûts très simples, tu sais ;)
Flo=> Bah justement, on n'a pas pris le thé, même si c'était du Mariage Frères : notre radineries a eu le dessus sur les convenances!
Sinon, notre Newick est un homme très occupé!
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