Bonsoir, Même si jusqu’à présent, je ne vous avais envoyé aucun commentaire, cela fait maintenant plus de deux ans que je suis une lectrice assidue de votre blog (et du précédent, bien sûr…). J’ose enfin vous écrire ce soir pour vous remercier d’avoir repris vos plumes : évidemment, ce n’est que lorsque vous avez arrêté d’écrire que je me suis rendue compte à quel point vous lire me plaisait. Je ris, en effet, très souvent à la lecture de votre blog : j’adore votre style, le regard humoristique que vous portez sur les débuts de carrière, l’exil en Amiénie, le covoiturage, les longs trajets quotidiens, les mutations, les salles des professeurs et surtout sur nos chères têtes blondes… Votre blog me touche énormément, parce que, même si j’habite à l’autre bout de la France, j’ai l’impression que nous avons vécu des destins similaires. Je fais partie, je crois, de la même génération que vous ; j’ai été khâgneuse, suis devenue professeur de lettres classiques, ai connu un long exil dans un minuscule collège rural et exerce maintenant en lycée (j’ai eu la (mal)chance d’avoir des TL la même année que l’un de vous…) Bref, pour pasticher Vincent Delerm (qui n’a pas l’air d’être une de vos idoles… désolée), j’ai cru faire une transat en solitaire mais je n’ai fait que pratiquer dans des piscines parallèles la natation synchronisée… Vos aventures immobilières, tant en Amiénie que maintenant, m’ont aussi absolument passionnée : j’y ai reconnu sans difficultés les affres que j’avais moi-même traversées au moment de devenir propriétaire… Je dois également vous dire que vos posts m’émeuvent parfois : je voudrais être capable d’écrire d’aussi beaux Spectralia que vous… Je termine en vous souhaitant, même un peu en retard, un joyeux anniversaire : neuf ans d’amour et neuf ans d’amour heureux, c’est magnifique ! Faites en sorte que votre bonheur dure encore longtemps et, surtout, continuez votre blog !
P.S. : Si jamais vous me répondiez, il va sans dire que je serai absolument ravie.
Que penser du laconisme de la réponse ? Je ne sais. Si ce que vous dites est juste, savoir que je vous ai touchés (un peu) me suffit. Mais si la réponse n'est qu'ironique, n'oubliez pas que tout ce que j'ai dit était sincère. Alors, de grâce, ne vous moquez pas... Quelle option choisir ? Peut-être finirai-je par le comprendre...
L'écrit est malheureusement source de beaucoup de malentendus. Non, j'étais on ne peut plus sincère et pas très en état de répondre plus longuement hier soir.
Disons que dix minutes avant que tu laisses ce message, je contemplais, l'oeil humide, la page d'accueil de Montdepitous en me disant qu'il y avait assez peu de commentaires (fréquenter le blog de Madame Patate refile pas mal de complexes). Je me disais que ce n'était pas si grave, que de toute façon, c'est avant tout pour moi que j'écris. Mais il y a des moments ou un rien vous laisse amer - quand vous apprenez qu'après une année de répit, vous allez de nouveau bosser dans deux établissements, par exemple. Là dessus, mon logiciel de messagerie m'alerte de ton message. Alors tu comprendras sans doute mieux que les larmes ont vraiment couler (oh, rien qu'un peu, testostérone oblige) et que c'était de plaisir.
Sinon, ta référence aux spectralia a ramené à la surface des souvenirs que je voulais ressusciter et que j'avais laissés dans un coin de ma mémoire; c'est pour bientôt, et ça inaugurera la rubrique "Orn hier".
Je voudrais juste ajouter que je serais vraiment un monstre d'accueillir avec autant de cynisme un commentaire aussi gentil. Malgré tous mes défauts, je ne crois pas avoir celui-là. Mais c'est vrai que si j'avais juste dit merci, j'aurais été plus clair ;-) J'espère donc te recroiser très bientôt dans ces pages, à défaut de pouvoir lire ton blog (peut-être y viendras-tu toi-même?)
erratum : il fallait lire "mes larmes ont vraiment coulé.
Et comme les idées se bousculent un peu dans ma tête devant ta réaction que je n'avais pas anticipée, je profite de cette correction pour dire qu'il y a qqch de très touchant et d'un rien perturbant à se rendre compte qu'on est suivi fidèlement par des lecteurs silencieux, et je trouve ça très beau que tu te sois décidée à laisser une trace de ton passage. Voilà, là je crois que j'ai fait le tour...
Sur certains blogs, on laisse facilement un commentaire, parce que c'est une discussion entre copines, ou entre potes, parce qu'on a le sentiment que finalement, quoi qu'on dise on ne sera pas ridicule ou incongrue. Et sur d'autres, on ne fait que lire, avec comme le souligne Eponime, beaucoup de plaisir sans pour autant commenter. Commenter n'est pas toujours simple après certains écrits. Là, je viens de savourer, c'est le mot, ton article sur Listeria. Je le trouve drôle, extrêmement bien écrit, mais je le trouve également tragique, parce que j'imagine bien que derrière tout cela, il y a la misère morale, culturelle, sociale, ou une autre. Enfin, bon, voilà, mon commentaire se retrouve tout bancal et ne veut plus rien dire. Juste que même si cela ne fait pas très longtemps que j'ai découvert ton blog, c'est en venant de chez Madame Patate que je l'ai déniché, et que j'en suis bien contente. Et que si tu es dans mon netvibes, cela me permet de ne plus louper un seul de tes écrits. Même si je ne les commente pas.
Le métier m’a définitivement déformée : je n’avais même pas vu la faute d’orthographe… Les meilleurs d’entre nous, qui ont traité avec le brio qui les caractérise un objet d’étude intitulé l’épistolaire, savent que les malentendus entre scripteurs sont légion. Cela dit, je ne pensais pas que tu étais cynique ; c’est juste qu’ayant mis une petite partie de mon âme dans ce commentaire, j’avais très peur de ta réaction et encore plus peur d’être déçue. Finalement, c’est sans doute moi qui suis la plus touchée des deux par notre échange : je ne m’étais pas enfin décidée à écrire ce commentaire pour déclencher force larmes, mais juste pour exprimer mon amitié. Et après avoir lu le commentaire de Dom, je tombe d’accord avec elle : Dieu sait combien de Listéria j’ai vues, mon écran d’ordinateur sait combien de sourires j’ai esquissés à la lecture de ce Caractère, mais malheureusement, je n’arrive pas à trouver de commentaire incisif qui apporterait quoi que ce soit au débat. Alors, je préfère me taire plutôt que de laisser une quelconque banalité. Je te souhaite beaucoup de courage pour surmonter le nouveau mauvais tour que l’Education Nationale est en train de te jouer : puissent les dieux ne pas avoir encore totalement scellé ton destin 2008-2009 au sein du mammouth… A bientôt peut-être. En attendant, quelques lignes de l'Enéide requièrent toute mon attention !
@ Dom : ton commentaire n'a vraiment rien de bancal. Avec Listéria, on tombe vraiment dans le comique de l'absurde, le moment où le collège se vide de son sens. Alors oui, c'est tragique. C'est même le seul mot qui convienne.
Ce que tu dis par ailleurs, je le soupçonnais un peu. Peut-être que ce que j'écris n'appelle tout simplement aucun commentaire; peut-être que d'une certaine façon, je verrouille la parole, préviens la remarque; peut-être que je n'invite pas suffisamment au partage...
Il n'y a pas si longtemps, une ancienne collègue amiénienne que j'ai appris à apprécier après des débuts difficiles, m'a dit : " on n'osait pas te parler, avec ta tête de roquet renfrogné". Il y a peut-être encore de ça, de glaçant sans être glacial : on respecte, on aime bien, mais on n'ose pas trop s'y frotter quand même.
Bon, là je me donne l'impression de pleurer après les commentaires, et du coup je me sens un peu bête. Ce que je voulais dire, c'est que dans les moments où on se sent un brin fragile, les commentaires comme ceux d'Eponine font vraiment du bien.
Pour netvibes, j'avoue que j'ai essayé de m'y mettre, mais je n'ai pas tout compris ;)
Je comprends éponine et dom : même moi, que l'on qualifie ailleurs de « bavard », il m'arrive d'être touché sans pouvoir rien écrire. Et puis un blogue, c'est parfois très frustrant si on croit y trouver un peu de réconfort et d'affection ; la présence aimante y est souvent, mais pas forcément le jour où l'on en aurait le plus besoin, car les lecteurs ne peuvent pas toujours deviner. Courage pour l'année scolaire et, comme le dit éponine, espérons que la mauvaise nouvelle annoncée ne se concrétisera pas. Il y a des jours où je suis vraiment content d'être un dévoyé de l'enseignement.
Rejoins le forum des VIB si ce n'est déjà fait (very important blogueuses, qui n'ont d'important que l'humour) et je pourrais t'expliquer, ou une autre le fonctionnement de Netvibes. c'est un agrégateur de flux RSS, qui permet de voir en temps réel les sites quand il y a une réactualisation de leur contenu. Tu vois le petit icone orange dans la barre d'adresse ? si tu cliques dessus, cela te propose de t'abonner, si tu dis oui, par netvibes, il te suffit de suivre le processus et ainsi tu réunis en quelque sorte, tes favoris, sauf que là, tu vois tout de suite quand il y a quelque chose de nouveau dessus. Bon, pour le forum, l'adresse c'est là, et comme tu peux poser des questions, il y aura forcément une blogueuse pour te répondre. http://www.leforumvib.fr/index.php et à ta disposition pour t'aider !!
12 commentaires:
Bonsoir,
Même si jusqu’à présent, je ne vous avais envoyé aucun commentaire, cela fait maintenant plus de deux ans que je suis une lectrice assidue de votre blog (et du précédent, bien sûr…). J’ose enfin vous écrire ce soir pour vous remercier d’avoir repris vos plumes : évidemment, ce n’est que lorsque vous avez arrêté d’écrire que je me suis rendue compte à quel point vous lire me plaisait.
Je ris, en effet, très souvent à la lecture de votre blog : j’adore votre style, le regard humoristique que vous portez sur les débuts de carrière, l’exil en Amiénie, le covoiturage, les longs trajets quotidiens, les mutations, les salles des professeurs et surtout sur nos chères têtes blondes… Votre blog me touche énormément, parce que, même si j’habite à l’autre bout de la France, j’ai l’impression que nous avons vécu des destins similaires. Je fais partie, je crois, de la même génération que vous ; j’ai été khâgneuse, suis devenue professeur de lettres classiques, ai connu un long exil dans un minuscule collège rural et exerce maintenant en lycée (j’ai eu la (mal)chance d’avoir des TL la même année que l’un de vous…) Bref, pour pasticher Vincent Delerm (qui n’a pas l’air d’être une de vos idoles… désolée), j’ai cru faire une transat en solitaire mais je n’ai fait que pratiquer dans des piscines parallèles la natation synchronisée…
Vos aventures immobilières, tant en Amiénie que maintenant, m’ont aussi absolument passionnée : j’y ai reconnu sans difficultés les affres que j’avais moi-même traversées au moment de devenir propriétaire…
Je dois également vous dire que vos posts m’émeuvent parfois : je voudrais être capable d’écrire d’aussi beaux Spectralia que vous…
Je termine en vous souhaitant, même un peu en retard, un joyeux anniversaire : neuf ans d’amour et neuf ans d’amour heureux, c’est magnifique ! Faites en sorte que votre bonheur dure encore longtemps et, surtout, continuez votre blog !
P.S. : Si jamais vous me répondiez, il va sans dire que je serai absolument ravie.
là, je pleure. Vraiment.
Que penser du laconisme de la réponse ? Je ne sais.
Si ce que vous dites est juste, savoir que je vous ai touchés (un peu) me suffit.
Mais si la réponse n'est qu'ironique, n'oubliez pas que tout ce que j'ai dit était sincère. Alors, de grâce, ne vous moquez pas...
Quelle option choisir ? Peut-être finirai-je par le comprendre...
L'écrit est malheureusement source de beaucoup de malentendus. Non, j'étais on ne peut plus sincère et pas très en état de répondre plus longuement hier soir.
Disons que dix minutes avant que tu laisses ce message, je contemplais, l'oeil humide, la page d'accueil de Montdepitous en me disant qu'il y avait assez peu de commentaires (fréquenter le blog de Madame Patate refile pas mal de complexes). Je me disais que ce n'était pas si grave, que de toute façon, c'est avant tout pour moi que j'écris. Mais il y a des moments ou un rien vous laisse amer - quand vous apprenez qu'après une année de répit, vous allez de nouveau bosser dans deux établissements, par exemple.
Là dessus, mon logiciel de messagerie m'alerte de ton message.
Alors tu comprendras sans doute mieux que les larmes ont vraiment couler (oh, rien qu'un peu, testostérone oblige) et que c'était de plaisir.
Sinon, ta référence aux spectralia a ramené à la surface des souvenirs que je voulais ressusciter et que j'avais laissés dans un coin de ma mémoire; c'est pour bientôt, et ça inaugurera la rubrique "Orn hier".
Je voudrais juste ajouter que je serais vraiment un monstre d'accueillir avec autant de cynisme un commentaire aussi gentil. Malgré tous mes défauts, je ne crois pas avoir celui-là. Mais c'est vrai que si j'avais juste dit merci, j'aurais été plus clair ;-)
J'espère donc te recroiser très bientôt dans ces pages, à défaut de pouvoir lire ton blog (peut-être y viendras-tu toi-même?)
erratum : il fallait lire "mes larmes ont vraiment coulé.
Et comme les idées se bousculent un peu dans ma tête devant ta réaction que je n'avais pas anticipée, je profite de cette correction pour dire qu'il y a qqch de très touchant et d'un rien perturbant à se rendre compte qu'on est suivi fidèlement par des lecteurs silencieux, et je trouve ça très beau que tu te sois décidée à laisser une trace de ton passage. Voilà, là je crois que j'ai fait le tour...
Sur certains blogs, on laisse facilement un commentaire, parce que c'est une discussion entre copines, ou entre potes, parce qu'on a le sentiment que finalement, quoi qu'on dise on ne sera pas ridicule ou incongrue.
Et sur d'autres, on ne fait que lire, avec comme le souligne Eponime, beaucoup de plaisir sans pour autant commenter.
Commenter n'est pas toujours simple après certains écrits.
Là, je viens de savourer, c'est le mot, ton article sur Listeria. Je le trouve drôle, extrêmement bien écrit, mais je le trouve également tragique, parce que j'imagine bien que derrière tout cela, il y a la misère morale, culturelle, sociale, ou une autre.
Enfin, bon, voilà, mon commentaire se retrouve tout bancal et ne veut plus rien dire.
Juste que même si cela ne fait pas très longtemps que j'ai découvert ton blog, c'est en venant de chez Madame Patate que je l'ai déniché, et que j'en suis bien contente.
Et que si tu es dans mon netvibes, cela me permet de ne plus louper un seul de tes écrits.
Même si je ne les commente pas.
Le métier m’a définitivement déformée : je n’avais même pas vu la faute d’orthographe…
Les meilleurs d’entre nous, qui ont traité avec le brio qui les caractérise un objet d’étude intitulé l’épistolaire, savent que les malentendus entre scripteurs sont légion. Cela dit, je ne pensais pas que tu étais cynique ; c’est juste qu’ayant mis une petite partie de mon âme dans ce commentaire, j’avais très peur de ta réaction et encore plus peur d’être déçue.
Finalement, c’est sans doute moi qui suis la plus touchée des deux par notre échange : je ne m’étais pas enfin décidée à écrire ce commentaire pour déclencher force larmes, mais juste pour exprimer mon amitié. Et après avoir lu le commentaire de Dom, je tombe d’accord avec elle : Dieu sait combien de Listéria j’ai vues, mon écran d’ordinateur sait combien de sourires j’ai esquissés à la lecture de ce Caractère, mais malheureusement, je n’arrive pas à trouver de commentaire incisif qui apporterait quoi que ce soit au débat. Alors, je préfère me taire plutôt que de laisser une quelconque banalité.
Je te souhaite beaucoup de courage pour surmonter le nouveau mauvais tour que l’Education Nationale est en train de te jouer : puissent les dieux ne pas avoir encore totalement scellé ton destin 2008-2009 au sein du mammouth…
A bientôt peut-être. En attendant, quelques lignes de l'Enéide requièrent toute mon attention !
@ Dom : ton commentaire n'a vraiment rien de bancal. Avec Listéria, on tombe vraiment dans le comique de l'absurde, le moment où le collège se vide de son sens. Alors oui, c'est tragique. C'est même le seul mot qui convienne.
Ce que tu dis par ailleurs, je le soupçonnais un peu. Peut-être que ce que j'écris n'appelle tout simplement aucun commentaire; peut-être que d'une certaine façon, je verrouille la parole, préviens la remarque; peut-être que je n'invite pas suffisamment au partage...
Il n'y a pas si longtemps, une ancienne collègue amiénienne que j'ai appris à apprécier après des débuts difficiles, m'a dit : " on n'osait pas te parler, avec ta tête de roquet renfrogné". Il y a peut-être encore de ça, de glaçant sans être glacial : on respecte, on aime bien, mais on n'ose pas trop s'y frotter quand même.
Bon, là je me donne l'impression de pleurer après les commentaires, et du coup je me sens un peu bête. Ce que je voulais dire, c'est que dans les moments où on se sent un brin fragile, les commentaires comme ceux d'Eponine font vraiment du bien.
Pour netvibes, j'avoue que j'ai essayé de m'y mettre, mais je n'ai pas tout compris ;)
C'est ton chat qui va être déçu : il fait le mariole de tout son coeur, mais aucun des commentaires ne parle de lui! Au fait, est-ce Stuart ou Calim'?
Je comprends éponine et dom : même moi, que l'on qualifie ailleurs de « bavard », il m'arrive d'être touché sans pouvoir rien écrire.
Et puis un blogue, c'est parfois très frustrant si on croit y trouver un peu de réconfort et d'affection ; la présence aimante y est souvent, mais pas forcément le jour où l'on en aurait le plus besoin, car les lecteurs ne peuvent pas toujours deviner.
Courage pour l'année scolaire et, comme le dit éponine, espérons que la mauvaise nouvelle annoncée ne se concrétisera pas.
Il y a des jours où je suis vraiment content d'être un dévoyé de l'enseignement.
Rejoins le forum des VIB si ce n'est déjà fait (very important blogueuses, qui n'ont d'important que l'humour) et je pourrais t'expliquer, ou une autre le fonctionnement de Netvibes.
c'est un agrégateur de flux RSS, qui permet de voir en temps réel les sites quand il y a une réactualisation de leur contenu.
Tu vois le petit icone orange dans la barre d'adresse ? si tu cliques dessus, cela te propose de t'abonner, si tu dis oui, par netvibes, il te suffit de suivre le processus et ainsi tu réunis en quelque sorte, tes favoris, sauf que là, tu vois tout de suite quand il y a quelque chose de nouveau dessus.
Bon, pour le forum, l'adresse c'est là, et comme tu peux poser des questions, il y aura forcément une blogueuse pour te répondre.
http://www.leforumvib.fr/index.php
et à ta disposition pour t'aider !!
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