Aujourd'hui, c'est Saby Bithday, c'est Bananiversaire! La dernière fois que nous l'avons vue, elle était en grande forme. Elle s'apprête, avec son Zébulon, à investir leur future maison. Dans quelques semaines, nous pourrons donc disposer d'une vraie chambre d'amis. Pour l'heure, nous devons nous contenter du clic clac.
Dormir avec mon homme dans un clic clac, c'est un peu comme forcer Cléopâtre à prendre des bains de purin : ce n'est pas agréable pour lui, mais c'est encore pire pour ceux qui l'entourent. Dans le but de rendre l'accueil plus moëlleux, V. laisse sous le drap la housse du clic clac. Ça a surtout pour effet de me faire crever de chaud, moi le toujours frileux. Vous connaissez sans doute le problème : avec la couette, c'est l'étuve; sans, c'est la banquise. Tandis que je somnolais, mon homme ne dormait pas du tout. Je l'entendais se retourner dans tous les sens. On avait pourtant fait en sorte d'éloigner nos têtes de la boîte à Ternet (les ondes, c'est pas Feng Shui), en les posant là où l'on mettait habituellement nos charmants petons.
Ultime raffinement anti-dodo, Trotinette, l'une des tigresses de la maison, a élu domicile sur mes chevilles (en ignorant superbement la non fengshuitude de la boîte à Ternet). Pour achever de me réveiller totalement, Saby Banana a choisi ce moment pour lancer une de ses nombreuses expéditions de pipi nocturne. Vu la disposition de l'appartement, elle n'avait pas moyen d'éviter notre chambre improvisée.
Rendons-lui cet hommage : elle ne s'est cognée à aucun meuble et, si nous n'avions pas été réveillés, je n'aurais sans doute pas ouvert un oeil (preuve en est que je n'ai pas été dérangé lors des onze autres pauses pipi). Sauf peut-être lorsque, croyant caresser Trotinette*, elle a passé sa main dans mes cheveux, en me susurrant des mots doux. À l'autre bout du clic clac, la chatte a levé sa petite tête intriguée en même temps que mon homme et moi, et Saby Banana est repartie en éclatant de rire et de honte.
Saby Banana ne nourrit pas pour moi de passion secrète, mais elle nourrit sa passion de croquettes.
Dormir avec mon homme dans un clic clac, c'est un peu comme forcer Cléopâtre à prendre des bains de purin : ce n'est pas agréable pour lui, mais c'est encore pire pour ceux qui l'entourent. Dans le but de rendre l'accueil plus moëlleux, V. laisse sous le drap la housse du clic clac. Ça a surtout pour effet de me faire crever de chaud, moi le toujours frileux. Vous connaissez sans doute le problème : avec la couette, c'est l'étuve; sans, c'est la banquise. Tandis que je somnolais, mon homme ne dormait pas du tout. Je l'entendais se retourner dans tous les sens. On avait pourtant fait en sorte d'éloigner nos têtes de la boîte à Ternet (les ondes, c'est pas Feng Shui), en les posant là où l'on mettait habituellement nos charmants petons.
Ultime raffinement anti-dodo, Trotinette, l'une des tigresses de la maison, a élu domicile sur mes chevilles (en ignorant superbement la non fengshuitude de la boîte à Ternet). Pour achever de me réveiller totalement, Saby Banana a choisi ce moment pour lancer une de ses nombreuses expéditions de pipi nocturne. Vu la disposition de l'appartement, elle n'avait pas moyen d'éviter notre chambre improvisée.
Rendons-lui cet hommage : elle ne s'est cognée à aucun meuble et, si nous n'avions pas été réveillés, je n'aurais sans doute pas ouvert un oeil (preuve en est que je n'ai pas été dérangé lors des onze autres pauses pipi). Sauf peut-être lorsque, croyant caresser Trotinette*, elle a passé sa main dans mes cheveux, en me susurrant des mots doux. À l'autre bout du clic clac, la chatte a levé sa petite tête intriguée en même temps que mon homme et moi, et Saby Banana est repartie en éclatant de rire et de honte.
Saby Banana ne nourrit pas pour moi de passion secrète, mais elle nourrit sa passion de croquettes.
Pitou G.
*Vous comprendrez sans mon aide pourquoi je ne peux pas utiliser de substitut nominal.
1 commentaire:
Bananiversaire, alors!
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