L'été est la saison de l'enfer, mais si on n'a pas forcément eu un été d'enfer, surtout niveau climat. Je milite d'ailleurs pour qu'on décale les vacances d'été en avril-mai. L'été nous en a fait voir de toutes les couleurs :
- Il y a bien sûr eu l'enfer rouge de Bison Futé. Pas de commentaire.
- L'enfer vert du fond du jardin. Il a dû pleuvoir des trombes d'eau à Pitoutown, en notre absence pour permettre une telle offensive des potimarrons et des pieds de tomates (hélas, sans le soleil pour les faire mûrir). Il va nous falloir rien de moins qu'une hache pour atteindre les haricots...
- Le plus redoutable de tous fut cependant, et de loin, l'enfer noir : les retrouvailles avec Caliméro, resté quinze jours loin de nous. Il nous en a fallu, de la patience, pour épuiser ses réserves d'amour trop longtemps contenu. Il y avait une telle urgence dans son besoin de câlin qu'il était incapable de se poser deux secondes. C'était déchirant - et passablement éreintant. Entre les miaulements plaintifs, les caresses de moustaches et les frôlements de pattes ambigus (mi-tendres, mi-griffes), inutile de vous dire que la nuit fut agitée...
2 commentaires:
bonne rentrée les pitous !
et il est loin, son remplacement, à PitouV ?
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