Le blog coruscant et capricant d'un couple de garçons en retour d'exil

dimanche 15 mai 2011

Il reviendra-z-à-Pâques, mironton, mironton, mirontaine...

Il reviendra-z-à Pâques
Ou à la Trinité...

Faut-il résumer les nouvelles de nos vies trépidantes ou les réserver pour d'hypothétiques articles à venir? Les travaux du jardin m'ont accaparé plus que je n'aurais cru - si vous avez cliqué sur le bon lien vous aurez remarqué quelques changements avec la version béta:
Juin 2007, le jour de la 1ere visite.


Les terrasses sont finies, la plus grande s'orne même d'une pergola à store coulissant - promis, je mettrai des photos par grand soleil de toutes ces merveilles qui m'occupent tant. Si le temps est de la (garden) partie, notre fête de l'été aura un cadre plus soigné que l'an passé (et bien moins que l'an prochain - pour la suite, je ne sais pas car je n'aurai plus d'herbe à enlever pour ajouter des plantes). En effet, suite au décès de notre vieille tondeuse, j'ai renoncé à l'herbe qui grille lamentablement entre nos quatre murs (ne vous fiez pas à la photo, 2007 était une année humide, mauvaise pour les tomates mais super pour le gazon). J'ai donc profité du voyage scolaire de G. en Allemagne pour métamorphoser la partie ornementale du jardin. Puis durant les vacances, je me suis attaqué au fond du jardin: création d'une lasagna bed pour des fraisiers et doublement de la surface du potager. Je ne parle pas du trafic de plants de tomates (idéal pour s'attacher les bonnes grâces des collègues.) et des transplantations afférentes!
G. se consacre toujours au boulot (le sens du sacrifice et l'abnégation, qualités essentielles du bon fonctionnaire - je n'ironise même pas, ce sont des paroles institutionnelles) - d'autant que nous recevons cette semaine une collègue dans le cadre de l'échange avec l'Allemagne. Je pense qu'il reprendra ses habitudes d'écriture (enfin, une fois qu'il aura terminé les soixante copies de brevet blanc). De mon point de vue de tézédaire, l'année est finie. Un mince espoir d'obtenir un poste fixe subsiste, mais je préfère ne pas trop y croire et savourer la situation actuelle, somme toute très confortable. Comme je chante souvent "Que sera, sera..."

V.